Fils de Pépin et petit-fils de Bernard, roi d'Italie. Sa mère est probablement une fille du Nibelungide Thierry. Son épouse est inconnue, des études récentes pensent qu'elle se prénomme Leutgarde, et qu'elle serait fille du comte de TroyesAdalelme.
Fils d'Herbert II, il épouse Gerberge, fille de Gislebert, duc de Lotharingie. Il ne reçoit le Vermandois qu’au moment du partage des terres de son père trois ans après la mort de ce dernier, c’est-à-dire en 946[2].
Fils d'Albert Ier, il épouse Ermengarde, probablement fille du comte Renard (Renaud) de Bar-sur-Seine, et veuve de Milo IIListe des comtes de Tonnerre.
Fils d'Herbert III, il abdique en 1010 pour se faire moine à l'abbaye d'Homblières. Revenant à la vie laïque, il reprend possession de son comté en 1015.
Frère d'Albert II, il lui succède une première fois de 1010 à 1015 puis après sa mort vers 1021. Il épouse une certaine Pavia dont on ignore l'origine.
Fils d'Otton, il épouse Alix de Valois, sœur du comte Simon de Valois. Ce dernier, désirant se faire moine, lui transmet le comté de Valois en 1077. Il déshérite son fils Eudes, dit l'Insensé, au profit de sa fille Adélaïde.
Fils du comte de FlandreThierry d'Alsace, il devient comte de Vermandois par son mariage avec la comtesse Élisabeth. À la mort de cette dernière et bien qu'elle ne lui ait pas donné de descendance, il réussit à garder le Vermandois et le Valois jusqu'au traité de Boves de juillet 1185.